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Mon nom est Palestine
22 août 2020

L'espoir d'un monde nouveau

Les mondialistes ou globalistes sont ceux qui voudraient substituer un gouvernement mondial aux États-nations : le fameux NOM pour Nouvel Ordre Mondial. À ce jour, un noyau de gouvernance mondiale existe bel et bien : « City de Londres », FED, BCE, BRI, ONU, OTAN, UE, BM, FMI, OCDE, OMC, OMS, FEM, GIEC, Bilderberg, clubs de réflexion divers (Le Siècle, La Trilatérale), sociétés secrètes diverses (Skull & Bones, Bohemians Club), ONG, FEM, fondations multiples, etc. Toutes ces institutions transnationales patiemment mises en place au cours des décennies passées, sont astucieusement imbriquées et interconnectées pour constituer un pouvoir centralisé à la fois financier, économique, politique, militaire, scientifique, etc, qui s’affranchit des frontières et de la souveraineté des nations donc des peuples pour imposer son agenda.

Au sein de cette mouvance, des factions s’affrontent en particulier pour tenter d’imposer une monnaie mondiale qui pourrait être le dollar, les DTS (Droits à Tirages Spéciaux) ou une voie alternative.
Depuis des décennies, ce gouvernement quasi mondial a déjà fait la preuve de ses pouvoirs de nuisances prédatrices sur l’ensemble de la planète : endettements provoqués, manipulations, blocus, déstabilisations, chaos organisés, assassinats, attentats sous faux drapeaux, révolutions colorées, guerres puis guerres via proxy etc, dans le but de piller les richesses locales sans considération aucune pour les populations autochtones. Sous couvert de promouvoir la démocratie et de répandre les idées progressistes, il travaille sans relâche pour asseoir son emprise sur la planète entière. On le voit à l’œuvre aujourd’hui avec la « pandémie » en cours.
C’est un cartel de banquiers ayant pris naissance au début du 18ᵉ siècle, voire dans le milieu du 17ème siècle en Angleterre, qui est à la manœuvre. On peut dire que celui-ci, par la corruption, la division, la manipulation, la perversion, le crime, dirige le monde à son avantage. Il est tellement riche et tellement puissant qu’il conviendrait plutôt d’écrire qu’il possède le monde ? Le nouvel ordre mondial, c’est lui.

Ces banquiers, élites plus que discrètes, qui n’apparaissent jamais dans le classement Forbes des milliardaires les plus riches de la planète (à côté d’eux Jeff Bezos et Bill Gates font figure de nécessiteux), présument de leur légitimité d’un passé spirituel lointain, et valident leur conception mystique et sataniste d’un monde qui résulterait de l’accomplissement d’une prophétie biblique messianique.
Bien que j’aie eu des réticences à accepter ce fait, les récentes affaires de mœurs ayant éclaboussé le monde du spectacle, de la haute couture et des personnalités de premier plan, tant aux États-Unis qu’en France et en Angleterre, pour peu qu’on fouille le sujet, confirment cette maléfique et monstrueuse réalité.

Enfin, bien que les maîtres du monde soient des êtres de chair comme vous et moi, il est audacieux de parler d’eux, de les montrer du doigt, de les nommer. Ils appartiennent à l’élite de l’élite, à la caste suprême des intouchables Du moins pour le moment…

« Pour savoir qui vous dirige vraiment, il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer » écrivait encore Voltaire.

Cette autre de Régis Debray : « Qu’on ne fasse pas le coup du fascisme, parce qu’après on vous demande de voter banquier, mais c’est le banquier qui fait le fascisme »

Un monde divisé ; une dystopie en perspective ?

Alors que la bulle financière menace d’exploser (ou pas), la maladie Covid-19, véritable aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques, est l’occasion pour cette oligarchie financière de s’enrichir davantage sur le dos des populations qui paieront l’addition par des baisses drastiques de leur niveau de vie et la confiscation de leur épargne. Ces temps-ci la bourse se porte plutôt bien, merci.
C’est l’occasion surtout d’accroître leur emprise sur le monde pour que s’accomplisse la prophétie.
La maladie Covid-19 pourrait être une opportunité d’imposer aux peuples cette gouvernance mondiale au prétexte de lutter efficacement contre les pandémies futures, mais également d’asservir les peuples et aussi incroyable que cela puisse paraître d’en réduire le nombre, de mettre en place des mesures de surveillance et de contrôle coercitives/sécuritaires dignes d’une dystopie qui serait devenue réalité. Il suffit pour s’en convaincre de mesurer les « avancées » réalisées en matière de surveillance et de contrôle des populations mises en place depuis les multiples attentats perpétrés aux USA et en Europe depuis vingt ans.

Schématiquement et pour résumer en simplifiant à l’extrême, on pourrait considérer que depuis quelques années le monde se divise en deux camps :

  • d’un côté les mondialistes où globalistes, présents dans la quasi-totalité des pays de la planète, dominés en sous-main par ce cartel de banquiers, qui prônent un libéralisme économique sans frein, une monnaie mondiale unique (les DTS ?), prêchent pour un monde ouvert s’affranchissant des frontières, des cultures, de l’histoire, annihilant les individus-consommateurs érigés à dessein en demi-dieux accomplis, les émancipant de toutes contraintes morales et comportementales… pour en faire des zombies déracinés manipulables à souhait.
  • de l’autre les alter-mondialistes identifiés comme nationalistes ou patriotes, protectionnistes (ils peuvent être également libéraux sur le plan économique et/ou favorables ou non à la prééminence du dollar) revendiquant leur appartenance à un territoire, sont attachés à leur héritage culturel, à leur langue, à leur histoire, à leur patrimoine, à leurs indépendance et souveraineté, à la prééminence de l’individu tel que façonné par la Nature.

Ce clivage est à son paroxysme aux États-Unis semble-t-il où une guerre civile larvée, mais néanmoins de haute intensité se joue en ce moment. Il n’est pas impossible que Trump ait été porté au pouvoir par des militaires patriotes pour lutter contre la corruption qui sévit au sein des services de renseignement et de l’administration fédérale, bref pour anéantir l’état profond et s’opposer aux velléités hégémoniques des mondialistes. Les accusations successives portées contre lui par ces derniers (« l’impeachment »), les affaires Wikileaks, le Pizzagate, les courriels d’H. Clinton, l’affaire Epstein, les démissions en cascade etc, seraient les escarmouches portées par les protagonistes de cette lutte à mort. Il est possible plus simplement que les mondialistes veulent l’anéantir parce qu’il entrave l’agenda de leur plan expansionniste.

Quoi qu’il en soit, l’issue de cette lutte redistribuera les cartes. Les élections programmées pour novembre prochain seront déterminantes pour l’ensemble du monde occidental et par voie de conséquence pour la planète entière.

Une guerre de l’information

En parallèle, une véritable guerre de l’information fait rage.
Sur le Net les informations, toujours plus d’informations circulent sur des millions de smartphones et d’ordinateurs à la vitesse de la lumière. Internet s’organise. La planète s’informe et s’éveille.

Pour combattre cette prise de conscience insupportable pour le pouvoir en place le matraquage mensonger des médias de masse traditionnels contrôlés par les maîtres du monde est voué à s’intensifier ; les mensonges succèdent aux mensonges au risque de devenir visibles aux yeux des plus crédules.
D’autre part, la censure passe à la vitesse supérieure notamment via les Google, Facebook, Tweeter, YouTube et consort qui s’attaquent aux publications gênantes ou intolérables pour la doxa ; l’information dissidente ne doit pas circuler.
De fait le durcissement de la censure accrédite la thèse selon laquelle un pouvoir qui recourt à la coercition est en position de faiblesse, ou pour le moins pris en défaut.

L’espoir d’un monde nouveau ?

Voici donc où j’en suis arrivé avec mon fil.
À ce jour, j’ai le sentiment que nous avançons sur une ligne de crête. D’un côté l’abîme qui pourrait nous plonger dans une dystopie totalitaire usant de technologies ultra-sophistiquées dont nous n’avons pas idée, pour contrôler, cibler, pister, intimider voire neutraliser les opposants et les réfractaires. Compte-tenu de l’ignorance, de l’apathie dans laquelle la majeure partie de la population est engluée, il n’est pas non plus interdit d’imaginer que le glissement vers un asservissement consenti soit progressif et indolore. J’espère me tromper dans les deux cas.
Bien évidemment, j’aimerais plutôt basculer sur l’autre versant : grâce à Internet notamment, la plèbe commence à comprendre et se dresse pour déjouer le scénario écrit pour elle.

Mais ne nous trompons pas : les mouvements de contestations ayant cours en ce moment aux États-Unis (Black Lives Matter) sont pilotés en sous-main, c’est-à-dire financés par les fondations Ford et Open Society pour déstabiliser Trump, voire provoquer une guerre civile dont les mondialistes pourraient tirer profit. Ces violences sont répliquées dans divers pays d’Europe dont la France, où elles façonnent une contestation de façade qui, pour l’occasion, bénéficie curieusement de la bienveillance du ministère de l’Intérieur, alors que les autres rassemblements sont proscrits en raison de la Covid-19.
La généralisation en cours du port du masque dans les espaces publics, la menace d’une seconde vague avec l’instauration d’un nouveau confinement confirment le narratif : comme toujours, il convient de diviser ou instiller la peur pour régner.

Il n’est toutefois plus illusoire de croire qu’un monde nouveau est aujourd’hui possible.

 Source :

https://reseauinternational.net/lespoir-dun-monde-nouveau/

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Commentaires
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  • Essayer de comprendre les événements mondiaux.Participer à lever le voile sur certaines zones d'ombre qui rendent le monde pourri.Réponse aux détracteurs de l'Islam par des arguments inattaquables. Enfin, rechercher la vérité là où les menteurs la cachent.
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