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Mon nom est Palestine
24 février 2020

On vous manipule !

Mot à dire

Les États-unis, pays conçu sur les cadavres des Amérindiens, ont bâti leur puissance par des manipulations que même Satan n’aurait pu y penser.

Parmi ces manipulations, Hollywood et son cinéma corrompu. Voir plus ici :

Les Dessous d’Hollywood

Hollywood veut dire “le bois sacré” en référence au bois de houx utilisé par les druides, Hollywood, c’est la baguette magique qui présente l’illusion au peuple. Le nom de cette ville n’est pas un hasard. C’est une arme de propagande de l’empire américain, et de la société occidentale dans son ensemble.

Wikipedia propose une vision de ce qu’il y avait avant Hollywood, à cet endroit; voir cet article : Hollywood avant « Hollywood »

  • Comment Hollywood est utilisé par les États-Unis (propagande militaire)
  • Qui contrôle Hollywood ?
  • Subversion à tous les étages : occulte, pédophilie (…)
Hollywood et le gouvernement
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HOLLYWOOD ET LE PENTAGONE : Les films militaires sont très populaires et l’armée américaine (Pentagone) est souvent autorisée à décider d’une grande partie des scénarios (voir « Cinéma de sécurité nationale » sur wikipedia). Des officiers du Pentagone ont pour travail de discuter des projets de films à Hollywood. Les militaires sont autorisés à lire le scénario à l’avance et proposent souvent des suggestions sur les changements, en particulier quand il s’agit de parties qui donnent une image négative de l’armée. En échange, l’armée US met à disposition du matériel comme des avions, une base aérienne, les pilotes et les temps de vol gratuitement. Le film devient dramatique et l’armée de l’air a eu l’occasion de montrer des équipements et de raconter des histoires héroïques de pilotes made in USA.

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La seule chose que les entreprises de ces films doivent payer est le carburant. Ainsi l’armée de l’air est présente dans 100 scénarios de films chaque année, et en une seule année, ils participent à environ 30 projets. Un officier de liaison à Los Angeles travaille activement à Hollywood. Producteurs et réalisateurs sont invités pour des démonstrations de nouveaux systèmes d’armes. Parfois, les militaires offrent leur participation s’ils ne sont pas dans le scénario. On donne aussi un bonus financier aux films montrant le drapeau américain. (Source corrigée)

Lire aussi :

HOLLYWOOD ET LA CIA : « Hollywood pratique cette façon de raconter des histoires et il arrive souvent et ils utilisent souvent des causes philanthropiques ou des causes politiques auxquelles les gens adhèrent ou pas« , A déclaré l’acteur BenAffleck , dans une interview sur le film Argo (2012). Affleck a poursuivi en disant. »Je pense qu’il y a probablement un assez grand nombre. Je pense que Hollywood est sans doute pleine d’agents de la CIA « . Vous pensez que c’est peu probable? Pourtant, on constate que les films d’Hollywood sont pleins de propagande pro CIA/NSA. D’ailleurs, il y a un précédent de producteur à succès qui a avoué être un ancien agent du MOSSAD (Courte vidéo). Un ancien membre de la CIA, indique d’ailleurs que même sans faire partie de l’agence, la profession est largement enclin à leur faire spontanément des courbettes dans les films.

Il n’y a qu’à voir « zero dark thirty » qui est une pure propagande complaisante pour la pseudo « lutte contre le terrorisme » des Etats-Unis notamment via la torture. Ce film a été conçu avec la collaboration étroite de la CIA et du pentagone.

Tout cela n’étant finalement que dans le prolongement de la propagande de la CIA dans le cadre de l’opération Mockingbird qui vise à manipuler l’opinion public par tout les moyens de communications possibles (y compris les médias de masse évidemment…). Une audition devant le congrès américain datant de 1975 prouve l’existence de cette opération. Vous pensez qu’elle n’est plus d’actualité ? Voyons ce qu’avait à en dire l’ancien l’ancien directeur de la CIA de 1993 à 1995, James Woosley lors d’une entrevue avec We are change en 2011. Il nie alors totalement l’existence même de l’opération Mockingbird qui a pourtant été déclassifiée par le gouvernement américain et qui démontre l’implication de la C.I.A dans les médias traditionnels dans le but de manipuler l’opinion public et propager des mensonges. (Courte vidéo)

Certains acteurs sont tellement impliqués dans la propagande américaine qu’ils ont décidé de sauter le pas et d’adhérer carrément au CFR comme George Clooney, Angelina Jolie, Michael Douglas ou le producteur Ron Silver.

De «Tarzan à Hollywood» aux «Peaux-Rouges, Noirs, Viets, Arabes, aliens et autres mutants», en passant par «Le D-Day mis en scène par Hollywood», ou les incontournables «Rocky et Rambo», une réalité se dessine : «En plus de promouvoir un certain mode de vie, les films made in Hollywood imposent aussi et surtout une manière de penser. Car l’idéologie américaine est définitivement inscrite dans les formes et dans les structures mêmes du cinéma hollywoodien.» À travers des exemples concrets, dans un style qui allie efficacité et humour, ce livre décline les complicités du vieux couple cinéma-idéologie, auquel Hollywood s’applique régulièrement à donner une nouvelle jeunesse.

Age de 34 ans, Régis Dubois vit à Marseille, où il enseigne le cinéma. Il a publié de nombreux ouvrages, notamment : Dictionnaire du cinéma afro-américain (Séguier, 2001), Le Cinéma des Noirs américains (Le Cerf, 2005) et Une histoire politique du cinéma, paru en 2007 aux éditions Sulliver, et particulièrement bien accueilli par la critique.

Étude « Cinéma et Propagande aux Etats-Unis »
Préambule : Les relations entre le média « image » et les instances politiques américaines ont revêtu différentes formes tout au long du vingtième siècle. Ces relations ont connu leurs heures de gloire et leurs heures sombres, au gré des différentes étapes du développement du cinéma, de la santé économique, de l’actualité ou encore de l’implication du pays dans différents conflits de par le monde.
Cette étude revient en premier lieu sur les acteurs et le cadre de cette coopération, avant de retracer les principaux jalons de ce mariage de raison entre Pentagone et Cinéma, illustrant une véritable exploitation mutuelle. Dans un troisième temps, elle analyse les mécanismes de propagande véhiculés par le cinéma américain, qu’ils soient explicites ou masqués, mais illustrant quoi qu’il en soit son utilisation comme levier de promotion de la toute puissance américaine et de l’American Way of life. Enfin, elle propose une
lecture synthétique de ses atouts mais aussi des risques associés sur les comportements individuels en particulier.
A l’aube du vingt-et-unième siècle, alors que le cinéma perd de sa superbe à l’aune du développement du multimédia, de l’ère du tout numérique et de l’émergence de nouveaux usages, de nouveaux mécanismes de propagande apparaissent. Ces derniers permettent de démultiplier l’effet de résonance entre médias et sonnent peut-être le glas d’une association centenaire entre le cinéma et
les instances politiques américaines.
Ce document est accompagné d’annexes séparées explicitant l’ensemble des sources analysées dans le cadre de cette étude : la littérature particulièrement fournie sur ce thème, les documentaires TV, les films et l’exploitation de diverses sources Internet.

Voir aussi :

  • Operation-Hollywood
  • Le documentaire « Opération Hollywood » :
operation-hollywood

Hollywood et les juifs
jewllywood (2)JewishMedia

Les canaux par lesquels la pensée humaine trouve son expression seront mis entre les mains de notre gouvernement, qui les utilisera comme organe éducateur et qui empêchera ainsi le public d’être dérouté par le « progrès » idéalisateur et par le libéralisme.

Avez-vous déjà vu un film où les gardiens des camps de concentration et les commandants étaient des juifs ? Depuis 1948, l’American Jewish Committee et l’Anti Defamation League ont censuré tous les scripts d’Hollywood impliquant des juifs. Étant donné que ces organes sont des extensions de la finance juive, quelssont les autres sujets qu’ils ont censurés ? (Gabler, « Un empire de la possession : comment les juifs ont inventé Hollywood »)

Henry Makow, Illuminati p.162


Marlon Brando – Hollywood et les juifs
L’actrice juive US dit qu’Hollywood appartient aux juifs

« Ce n’est pas de l’antisémitisme, mais si un goy le dit c’est un antisémite… Chercher l’erreur »

Rachel Weisz

Rachel Weisz

« Rachel Weisz est aussi très célèbre pour ses rôles dans La Momie, Eragon, Stalingrad (où elle incarne une juive bolchévique innocente et persécutée). La journaliste anglaise Emma Forest a interviewé l’actrice pour la revue new-yorkaise Index Magazine (suivez notre regard). Nous remercions Honoré, un lecteur, pour ses extraits d’interview traduits de l’Anglais » :

RACHEL WEISZ : Et mon nez, il semble qu’il soit … juste vraiment trop grand.

EMMA : Vous venez de dire tout à l’heure, au magasin, que vous vous trouviez trop juive. Est-ce contraignant pour une actrice d’être perçue comme étant trop “ethnique” ?

RACHEL WEISZ : Eh bien, je crois comme vous que nous nous sentons juifs, mais que nous pouvons échapper à la catégorie “exotique”. Nous sommes pour ainsi dire des juifs déguisés. Ces stéréotypes culturels du juif avec un grand nez crochu et un visage charnu déteignent sur nous. C’est terrible à admettre, n’est ce pas.

EMMA : Jackie Mason plaisante sur le fait qu’aucune femme juive ne veut paraitre juive : “Un petit air Italien, un petit air Russe, peut-être un brin Espagnol ?’”… “Vous avez l’air juif !”

RACHEL WEISZ : Hollywood est dirigé par les juifs. Quand j’avais 19 ans, un agent américain m’a conseillé de changer mon nom de famille. Et je lui ai dit : “Pourquoi ? Les juifs dirigent Hollywood de toute façon”. Il a répondu “Justement”. Selon sa théorie, tous les gros pontes pensent que le métier d’actrice est réservé aux “shiksas” (gentilles) [ndlr : un dérivé de « souillures » en hébreux].

EMMA : De tous les juifs qui se détestent de par le monde, les pires sont ceux d’ Hollywood. Ils ne veulent pas voir d’images d’eux sur l’écran. C’est pour cela que Lauren Bacall devait cacher son identité, et que Winona Ryder a changé son nom d’Horowitz.

RACHEL WEISZ : D’une certaine façon, le métier d’actrice est de la prostitution, et les juifs d’Hollywood ne veulent pas que leurs propres femmes y participent. Il y a aussi un élément du “Complexe de Portnoy” : ils ont tous envie de belles blondes aryennes.”

SOURCE (anglais) : http://www.indexmagazine.com/interviews/rachel_weisz.shtml

L’histoire de l’industrie cinématographique hollywoodienne est une histoire juive. Les fameux studios de cinéma MGM, Warner Bros ou Twentieth Century Fox ont été créés par des Juifs immigrés d’Europe de l’Est. Les frères Warner, Samuel Goldwyn, Louis B. Mayer ou encore Adolphe Zukor sont à l’origine des quatre plus grandes majors américaines.

Au début du 20e siècle, alors que l’industrie du cinéma est en pleine expansion, de jeunes Juifs immigrés ambitieux perçoivent vite les lacunes criantes du marché des loisirs et sont prêts à prendre des risques. Ils voient grand. Indépendamment, chacun devient propriétaire de studios de cinéma. Les nouveaux patrons juifs d’Hollywood deviennent si puissants qu’ils ont le pouvoir de faire ou défaire les carrières.

La Warner Brothers
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La Warner Bros. Pictures Inc, fait partie des pionniers de l’industrie cinématographique. Elle est fondée en 1903 par quatre frères originaires de Pologne : Harold (l’aîné, 1881–1958), Jack (1892–1978), Albert (1883–1967) et Sam (1884–1927) Warner. L’entreprise prospère d’abord dans l’exploitation de salles de cinéma. En 1912, les frères décident de produire un film eux-mêmes. Sam devient le directeur technique du studio, Albert se charge de la distribution, Harry prend en main les finances et Jack la production.

Warner-Bros-Logo

Les studios sont créés en 1923. En 1925, la Warner Bros. Pictures Inc. est leader dans le business des films muets. La même année, elle rachète la Vitaphone Company détentrice de l’invention de la synchronisation son-image. En 1927, Warner est la première à se lancer dans la nouvelle aventure du parlant. Avec Le chanteur de jazz dont l’acteur principal Al Jolson est également juif, la Warner révolutionne l’industrie du cinéma. En rachetant en 1929 la société First National Pictures, la Warner contrôle 250 salles de cinéma qui garantissent la diffusion de ses films. Le studio se spécialise dans les films d’aventures comme Robin des Bois (1938) et les films policiers avec les vedettes de l’époque comme Humphrey Bogart (le Faucon maltais). Dans le même temps, Warner se diversifie, se lançant dans le dessin animé. Il accueille entre autre dans ses studios le génial Tex Avery et son univers de personnages délirants. Les studios Warner continuent d’être parmi les leaders d’Hollywood jusque dans les années 1960.

Paramount
Adolph Zukor

Né en Hongrie, Adolph Zukor (1873–1976) découvre le cinéma à 20 ans. Il commence par distribuer quelques films. Il s’aperçoit rapidement du manque de longs métrages de qualité. Il se tourne alors vers la production. Avec Daniel Frohman, ami juif producteur de spectacles, il ouvre un studio de production : Famous Players. Leur but est d’amener des acteurs de théâtre célèbres à se tourner vers le septième art balbutiant. Ils produisent des classiques comme Le Comte de Monte Christo.

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En 1917, Zukor rassemble d’autres maisons de production naissantes et fonde Paramount Pictures. Ces studios inventent l’industrie cinématographique en assurant au sein d’une même compagnie la production, la réalisation et la distribution des films. Zukor qui brille dans tous ces domaines, assure lui-même la présidence de la société, une des plus grandes du monde. Mais Zukor n’oublie pas ce qu’il est : il s’investit dans la bienfaisance juive.

Twentieth Century Fox
William Fox

Le producteur William (Fuchs) Fox (1879–1952), lui aussi originaire de Hongrie, entre en 1904 dans la profession en achetant son premier théâtre. Il y installe un projecteur de cinéma. Fox étend son circuit de salles aux Etats-Unis. Cela le mène en 1915 à la présidence de Fox Film et Fox Theater Corporations.

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Insatisfait de la qualité des films distribués, il commence à tourner ses propres longs métrages dans une grange qu’il loue. En 1917, il construit des studios à Hollywood et dans les années 1920 produit des films à succès. En 1935, la 20th naît de la fusion de Fox Film et de Twentieth Century Pictures fondée en 1933 par Joseph Schenck (1878-1961) autre Juif originaire de Russie, ancien président de United Artists.

La M.G.M.
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En 1913, Samuel Goldfish (1882–1974), d’origine polonaise, rentre dans l’industrie du cinéma alors qu’il est gantier. Son premier long-métrage, Le mari de l’Indienne, est un succès immédiat. Deux ans plus tard, il s’associe avec Edgar et Archibald Selwyn pour créer la Goldwyn Pictures Corporation, (formé de la 1e syllabe de Goldfish et de la dernière de Selwyn). Samuel Goldfish finit par adopter ce nom (un peu plus chic et un peu moins juif). La période spectaculaire de sa carrière s’ouvre quand en 1923 il commence à faire des films indépendants.

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Un an plus tard, il fusionne avec Mayer et Metro pour devenir les fameux grands studios de cinéma Metro Goldwyn Mayer (M.G.M.). Samuel Goldfish dote ses films de son talent et de son imagination propres, reflets de sa marque personnelle. Il introduit et produit beaucoup d’acteurs populaires. Il engage également des écrivains et scénaristes renommés. Grand producteur, Goldwyn devient une légende dans l’industrie du cinéma. Il consacre ses profits à la Fondation Samuel Goldwyn qui aide les causes philanthropiques et éducatives.

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De son côté, originaire de Biélorussie, Louis Burt Mayer (1885–1957) commence sa carrière en achetant en 1907 un théâtre burlesque dans l’Etat du Massachusetts. Il y projette des films. Bientôt, il achète tous les théâtres de la ville de Haverhill. Il s’établit à Los Angeles en 1916. Grâce aux salles de cinéma, il devient rapidement exploitant, distributeur et enfin producteur avec son entreprise, la Louis B. Mayer Pictures Corporation.

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Il fusionne sa société avec la M.G.M. en 1924. Louis B. Mayer est nommé vice-président et devient directeur de la production jusqu’en 1951. Son aptitude à sentir le goût du public assure à la M.G.M. un énorme succès. Il cumule les réussites : la Grande Parade en 1925 ou Grand Hôtel en 1932. Mayer est un grand défenseur du ‘’star system’’. Il découvre et soutient des vedettes comme Greta Garbo, Joan Crawford et Clark Gable, ou des enfants comme Mickey Rooney, Judy Garland et Elizabeth Taylor qui feront plus tard les carrières que l’on sait.

Dans le milieu, Louis Mayer est appelé « le Tout-Puissant ». La M.G.M. est connue sous le nom de ‘’Mayer Gunsa Mishpocha’’ (Mayer pour toute la famille, en yiddish) parce que l’homme avait tendance à y employer ses parents !

A la M.G.M., tous les responsables du studio sont juifs comme le directeur Marcus Loew ou le responsable de la production Irving Thalberg.

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Marcus Loew (1872–1927), commence sa carrière dans le cinéma en projetant des films dans des salles louées. En 1919, il achète Metro Pictures Inc. et en 1924 acquiert Goldwyn Pictures. Puis Marcus Loew est nommé président des studios Metro-Goldwyn-Mayer et sa compagnie Loew’s Inc. devient une des plus grandes chaînes de cinéma aux Etats Unis.

Thalberg

Pour sa part, Irving Grant Thalberg (1899–1936) rejoint Universal Pictures juste après avoir fini ses études. Il devient directeur général des studios à 24 ans, lorsqu’il produit Le bossu de Notre Dame (1923). Un an plus tard, il devient le bras droit de Louis B. Mayer et peu après l’avènement de la Metro-Goldwyn-Mayer, devient le producteur en chef de la compagnie. C’est à lui que l’on doit la première version de Ben-Hur (muet) en 1926. Thalberg guide la M.G.M. dans sa transition du muet au parlant, pulvérisant les records du box office avec la première comédie musicale Broadway Melody (1929). Il est responsable des plus célèbres films de son temps, comme Les révoltés du Bounty (1935) ainsi que de plusieurs comédies des Marx Brothers (comiques juifs).

La M.G.M. contribue à l’âge d’or du cinéma américain. Les plus grands y travaillent : Leslie Caron, Cyd Charisse, Ava Gardner, Laurence Olivier, Alfred Hitchcock. La M.G.M. sera le véritable symbole de l’hégémonie cinématographique américaine et de l’industrie du spectacle.

David Selznick

Quant à David Oliver Selznick (1902–1965), il ne crée pas de major mais devient un des plus grands et plus renommés producteurs d’Hollywood. Il commence d’abord comme assistant de production sur des Westerns aux studios M.G.M. Rapidement, il se hisse au premier rang des producteurs d’Hollywood. Il travaille pour Paramount et plus tard pour la société de production indépendante R.K.O. Il produit notamment King Kong. Revenant à la M.G.M. comme vice-président, il finance des succès importants comme Autant en emporte le vent (1939), le film le plus cher jamais réalisé à l’époque, Rebecca (1940), Une étoile est née (1954). David Selznick découvre et fabrique de nombreuses stars : Fred Astaire, Katharine Hepburn, Ingrid Bergman, Vivien Leigh. Au faîte de sa carrière, il est élu meilleur producteur 10 années consécutives. Mais son extrême méticulosité le conduit à d’innombrables disputes avec réalisateurs et acteurs. Certains refusent même de travailler avec lui. De son côté, son frère Myron Selznick, devient l’un des agents les plus puissants d’Hollywood.

Émigrés fuyant la misère et les persécutions, ces visionnaires ont crée l’industrie du rêve. Avec talent et intelligence, ils ont eu l’intuition de percevoir le potentiel extraordinaire de ce nouveau média. Réinventant un monde imaginaire onirique et merveilleux, ils comblèrent les espoirs du public sur grand écran et firent de ce spectacle le véritable âge d’or du cinéma américain. Hollywood, une histoire juive en somme.

Noémie Grynberg / Israel Magazine 2008

La Columbia
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Columbia Pictures est une entreprise américaine et l’une des plus grandes sociétés de production cinématographique. Elle a été créée en 1919 par Jack Cohn (1889-1956) et son frère Harry (1891-1958) sous le nom de CBC Film Corporation, avant de devenir dans les années 1980 une filiale de Coca-Cola puis de Sony Pictures Entertainment. Son siège social se situe sur Culver City, en Californie. Harry nait à New York le 23 juillet 1891 dans une famille juive d’origine germano-russe.

« Hollywood, qui a incarné les États-Unis au point d’être considéré aujourd’hui par certains comme le vecteur principal de l’impérialisme culturel américain, a été fondé dans les années 1920 par des immigrants de fraîche date qui, pour certains, parlaient un anglais approximatif. Les frères Warner, Carl Laemmle, William Fox, Harry Cohn, Samuel Goldwyn, Louis B. Mayer, Irving Thalberg, Adolph Zukor et d’autres, étaient nés dans des communautés juives d’Europe centrale marquées par la misère et les pogroms, mais habitées par une culture vivace et pleine d’humour. Sentant avant tout le monde que la société de consommation naissante devait se nourrir aussi de rêves, ils bâtirent des empires dont les noms sont devenus mythiques : Twentieth-Century Fox, Columbia, MGM, Universal Ils eurent ainsi l’audace de forger leur propre conception du rêve américain : celui d’un pays plus accueillant, plus tolérant, plus juste et plus optimiste qu’il ne l’était vraiment. Cette vision, véhiculée par leurs films, se diffusa dans la culture américaine, contribua à la définir et finit même par l’incarner aux yeux du monde. C’est l’histoire de ces aventuriers improbables devenus des géants et parfois des monstres qui nous est contée ici. » (source)

Mel Gibson, vilain canard d’Hollywood

« les Juifs sont responsables de toutes les guerres dans le monde »

« Le vrai danger pour Mel Gibson est que l’industrie du cinéma, très sensible à la question juive, pourrait ne pas être aussi tolérante face à ses insultes antisémites. Déjà en 2004, à la sortie de son opus controversé sur les dernières heures de Jésus-Christ, La Passion du Christ, ce chrétien fondamentaliste qui suit la messe en latin avait repoussé les accusations d’antisémitisme »

« Le plus drôle, disions-nous, est que le Christ de Gibson, parallèlement à son succès public, recevait les Glaviots d’Or, décernés à l’unanimité par la presse occidentale « mondiale ». Alors que le film, plutôt historique, n’est pas antisémite, ou alors c’est l’Histoire qui l’est. Mais ça, c’est une autre histoire. » Source

melgibson et les juifs

République tchèque : la communauté juive vent debout contre Mel Gibson. La communauté juive en République tchèque a dénoncé, le 3 juillet, la décision des organisateurs du festival de cinéma de Karlovy Vary d’honorer de la plus prestigieuse récompense tchèque l’acteur australo-américain Mel Gibson, réalisateur de La Passion du Christ, film controversé aux yeux des juifs. Sa présentation des dernières heures de Jésus-Christ dans son film de 2004 « en fait un des films les plus offensants jamais tournés », a déclaré dans un communiqué la Fédération des communautés juives en République tchèque. La Fédération condamne ce film pour la propagation « de stéréotypes classiques » selon lesquels les juifs sont les seuls responsables de la mort de Jésus. Le film peut également être utilisé pour justifier les manifestations « de haine vis-à-vis des juifs », selon le communiqué. (Source)


« L’ourson Ted dérape sur les juifs et Hollywood aux Oscars »
Par Déborah Partouche – lemondejuif.info
OSCARS

On savait que Ted était un ourson salace, qui passe son temps à draguer, à boire des bières et à fumer de la drogue devant des navets, mais ce dimanche, il a réussi l’exploit à mettre furax  la Ligue Anti-Diffamation et le Centre Simon Wiesenthal.

Seth MacFarlane, présentateur de cette 85e cérémonie des Oscars et créateur de l’ours en peluche politiquement incorrect Ted, héros du film éponyme sorti en 2012, avait invité le caustique animal à faire quelques blagues sur scène avec l’acteur Mark Wahlberg.

Les blagues prononcées sur la scène des Oscars par le présentateur de la soirée ont suscité des commentaires choqués, notamment de la Ligue Anti-Diffamation qui s’est élevée contre un sketch sur les Juifs et Hollywood.

Dès le début du sketch, Ted a nommé certaines stars juives présentes dans la salle, puis se faisant passer pour un Juif en se rebaptisant Theodor Shapiro, il a assuré, qu’ainsi, il lui sera plus facile de travailler dans la « confrérie de la synagogue secrète » de l’élite d’Hollywood.

« Je tiens à donner de l’argent à Israël et à continuer à travailler à Hollywood pour toujours » a dit l’ourson Ted. « Tu es un idiot » répliqua l’acteur Wahlberg. Le sketch a été accueilli par des sourires mitigés.

La Ligue Anti-Diffamation et le Centre Simon Wiesenthal ont jugé la blague « offensante et tout, sauf drôle » ajoutant que « ce sketch, pour un public non averti parmi les deux milliards de téléspectateurs de la cérémonie des Oscars, qui connaissent peu ou rien d’Hollywood ou de la fausseté de tels stéréotypes sur les Juifs, renforce l’idée que les « Juifs contrôlent Hollywood » et qu’il soit accepté par ce public comme un fait ».

« Bon, ça n’a pas marché », tranchait d’emblée le Los Angeles Times, qualifiant la soirée de « longue, complaisante et ennuyeuse ».


Hezbollah :
les Juifs ont inventé Hollywood pour dominer le monde

Les Juifs se sentaient « rejetés par la vraie société américaine, » ils ont alors « essayé de changer l’opinion publique sur les Juifs en inventant des personnages de cinéma qui serviraient de bons exemples. »

Alors que certains personnages étaient ouvertement juifs, d’autres étaient dissimulés sous le masque de superhéros et d’autres célèbres protagonistes hollywoodiens, pour cacher les tentatives juives de conquérir la culture américaine et internationale.

« C’est alors que tout a commencé, » explique la narratrice du programme, « tout le monde voulait être comme Superman, le héros de l’espace qui ne trouvait pas sa place dans la société, il a donc créé un personnage mieux adapté à la société américaine – le faible Clark Kent à lunettes. » (Al Manar, cité par timesofisrael)

Hollywood et les Arabes

« Comment les sionistes américains créent l’islamophobie et la haine des Arabes et des musulmans pour que le monde déteste les Palestiniens et l’islam. Excellent reportage grâce auquel on comprend qu’une guerre de subversion est en cours pour diaboliser les Arabes, c’est une véritable GUERRE ». Et quand on voit qui contrôle Hollywood, on comprend mieux cette habitude.

Voir aussi :

LE SHOW-BUSINESS OCCULTE

Par Secretebase, corrigé et illustré

showbuzness occulte

Toutes les productions pour la masse sont occultes. C’est une guerre psychologique entre plusieurs groupes et plusieurs croyances. Il y a donc plusieurs Hollywood occultes. Il y a également des films contre ces mouvements sectaire, liés aux grandes religions, des films d’amour. Comment certains artistes ont atteint les sommets, même si leurs musiques ou leurs jeux d’acteur sont sous la moyenne? Comment quelqu’un qui ne sait rien sur la musique peut-il devenir une célèbre du rock? Comment certaines personnes avec beaucoup de talent et des idées n’ont jamais une chance? Les rock stars, les acteurs et les people sont largement utilisés par les groupes occultes, secte et loges. Certains d’entre eux sont programmés à partir du jour ils sont nés pour devenir des marionnettes pour l’élite. Ces jeunes sont introduits dans l’occulte via des organisations.

Music Industry exposed

The Music Industry Exposed : Ce documentaire aborde la symbolique reprise par les stars de la musique du devant de la scène américaine, et la soumission aux élites.

 Dans le cadre de ces cultes, ils apprennent à penser et à agir en vue de renforcer l’ordre des philosophies du NEW-AGE et des tendances à donner au monde de demain. Une grande partie de la planification politique et financière des illuminati se passe dans les coulisses, mais deux de leurs plus puissants instruments sont HOLLYWOOD et l’industrie de la musique, parce que c’est la façon dont ils peuvent atteindre les masses. Ils ont donc établi une nouvelle tendance à promouvoir leur dernière stratégie. Ils utilisent l’esprit des personnes contrôlées (musiciens, acteurs, producteurs, etc.) pour définir la tendance, leur promettant la richesse, la drogue, les groupies et la gloire. Ces «artistes» sont fortement encouragée par des techniques tirées de l’Allemagne nazie, qui a mis au point la plus extraordinaire méthode pour manipuler les masses. L. Ron Hubbard, fondateur de la scientologie, a avoué en public (à ses disciples) qu’il a utilisé la « machine de propagande » de Goebbel pour amener les gens dans le culte.

Les Arrivées n°14 : Hollywood

TREND MAKER

Une guerre Occulte dans le Show

madonna-blouson-illuminati

Le « TREND MAKER«  (Les Beatles, Stones, Hendrix, Jim Morrison, Sex Pistols, Eminem, Curt Cubain, Black Sabbath, Led Zeppelin, Madonna, etc.) indiquent les orientations pour la nouvelle tendance selon leurs convictions et donc leurs TEMPLES ou LOGES.

Madonna-Super-Bowl-Trone

Ce n’est un secret pour personne, MADONNA fleurte avec la KABBALE. Les gens commenceront l’adoration de ces nouvelles idoles. Puis d’autres musiciens (souvent plus talentueux) suivent cette tendance et inventent leurs propres versions de l’idée nouvelle. Ces musiciens peuvent être des gens ordinaires comme vous et moi, qui n’ont jamais été à proximité du « MIND CONTROL » gouvernemental. L’effet boule de neige commence. Ainsi, ceux qui ont commencé la tendance, peuvent s’asseoir et regarder. Les citoyens sous hypnose feront le reste pour eux.

Madonna clip Illuminati satanique : Like a Prayer débunké
mickael jackson album

La pochette de l’album « DANGEROUS » de M. JACKSON est démonstrative, la manipulation est expliquée : Les enfants vont subir un lavage de cerveau, on va les retourner à travers le PROGRAMME (basé sur le Zodiaque). La Terre est donc retournée sur le visuel car le Zodiaque Égyptien est utilisé dans un mauvais sens de lecture pour la masse.

En bas de la pochette figure PHINEAS T. BARNUM célèbre créateur du cirque portant son nom et l’inventeur des spectacles populaires. On attribue au patron du célèbre cirque américain deux phrases qui expliquent, à ses yeux, le succès de son entreprise. La première, qui affirme qu’« à chaque minute naît un gogo », évoque l’indéracinable crédulité de tout un chacun et la seconde nous dit que pour être populaire « il faut réserver à chacun un petit quelque chose ». En français :  » On exploite les Pigeons ! « .

« Notre travail est de donner aux gens non pas ce qu’ils veulent, mais ce que nous décidons qu’ils doivent avoir. »
Richard Salent, ancien président de.CBS News


LES SORCIERS DE LA POP

crowley

En 1912, le sorcier et agent secret de la CIA, le grand mage ALEISTER CROWLEY fut responsable de l’ ORDO TEMPLI ORIENTIS (O.T.O.) en Grande-Bretagne et en Irlande avec la charge de X° de l’Ordre (dernier grade de l’O.T.O. conférant la contrôle sur une aire géographique déterminée). Cet avancement allait de pair avec la communication des degrés maçonniques appelés « Mysteria Mystica Maxima ». Durant la Seconde Guerre Mondiale, la majorité des diverses branches de l l’ O.T.O. en Europe furent détruites et l’unique loge de l’O.T.O. encore activité fut alors l’  » AGAPE LODGE  » en Californie

ALEISTER CROWLEY est probablement le magicien noir qui est le plus populaire à Hollywood et dans l’industrie de la musique aujourd’hui. Il est accusé d’être celui qui a inventé les messages subliminaux dans la musique. Ce gourou est surtout un agent secret au service de la CIA, spécialisé en occultisme. ALEISTER CROWLEY a donc directement participé au codage du ZODIAQUE et la religion égyptienne dans le show. Ce n’est pas SATANIQUE, c’est une façon de montrer sans dévoiler les codes aux « gogos » non-initiés.

Un grand pourcentage des musiciens de rock / rap / hip hop des 50’s, 60’s, 70’s, 80’s et 90’s sont très influencés par ce magicien noir occulte. Dans le monde artistique, ils ne se cachent pas, bien au contraire, ils s’amusent. Tous se revendiquent du mage noir sataniste anglais Aleister Crowley qui opta plutôt pour la magie noire que la blanche. Il utilisa le sexe, l’usage de drogues et les rites sataniques pour s’allier les forces occultes. Expulsé d’Italie pour pédophilie, il continua dans son château au Royaume Uni.

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C’est à Hastings, en Grande-Bretagne, que mourut en 1947 le mage le plus sinistre du siècle, dans le quartier où allait naître un de ses futurs admirateurs, le chanteur aux allures longtemps ambiguës de Dandy androgyne, David Bowie, prêtre Luciférien, compagnon de route du leader des Rolling Stones, Mick Jagger qui s’est pris pendant longtemps pour LUCIFER personnifié au point de  » jouer à  » incarner le 666.

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Dans un de ses livres,  » MAGICK  » (avec « CK » pour faire allusion aux mots BLACK MAGIC), le Mage ALEISTER CROWLEY enseigne comme principe de magie, de tout inverser, par exemple réciter à l’envers les prières des chrétiens. Il allait développer une nouvelle philosophie inversée, contraire au mouvement de la société et surtout du Christianisme qu’il détestait profondément. Voilà pourquoi nous avons des messages subliminaux en inversion dans les paroles des chansons et sur les pochettes de disques, de la MAGIE NOIRE.

Un adepte se doit de s’entrainer à penser à l’envers (Magick, Appendice VII, Liber brasit). Marcher à l’envers, faire des gestes à l’envers, le haut devint le bas, la douleur le plaisir, l’obscurité est lumière, l’esclavage est liberté. La folie devient signe de santé mentale. Le mage avait une salle à miroirs, pour voir sa propre image à l’envers. Ce qui est beau et lumineux est systématiquement rendu à son inverse pour devenir laid et sombre.Les incantations et vociférations se faisaient en langage inversé. Écouter des disques à l’envers faisait partie de ses rituels classiques. Les emblèmes chrétiens étaient eux aussi inversés pour signifier leur contraire. Ainsi, un symbole représentant l’amour et la beauté sera automatiquement inversé comme dans un miroir pour finalement prendre une nouvelle signification : la haine et la laideur.

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Sur la pochette de l’album  » Sergent Peppers  » des Beatles, ALEISTER CROWLEY est le second en partant de la gauche. Cette pochette contient énormément de messages, parfois très étranges, ainsi Paul Mc Cartney serait mort en 1966 dans un accident de voiture, puis remplacé par un sosie. Depuis 40 ans, les fans traquent les indices sur les pochettes d’albums, et vont jusqu’à écouter les morceaux à l’envers pour trouver des révélations cachées…

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Le verso de l’album de THE DOORS (les portes), « 13 », montre le groupe recueilli autour d’une statuette d’ALEISTER CROWLEY. Beaucoup d’autres artistes pop/rock ont « étudié » Crowley comme Marc Bolan, David Bowie, Graham Bond, Sting, Daryl Hall, King Daimond, Bruce Dickinson, Stiv Bators, et bien d’autres.

En écoutant des enregistrements de prières ou des incantations à l’envers, on pouvait entendre d’autres sons. D’autres mots et phrases étaient alors audibles. Cela allait devenir une nouvelle pratique clé du culte obscur, des rites et de ses messes noires, enseignée dans le livre « MAGICK » et allait faire partie intégrante du culte, et plus tard mise en pratique par ses adeptes dans le rock et le show. Lorsque nous parlons, nous générons de manière inconsciente des sons qui, écoutés à l’envers, forment d’autres mots et seraient en quelque sorte « la voix de notre inconscient ». Une formidable manipulation des esprits par la CIA avec des techniques de CONTRÔLE MENTAL très puissantes.

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Un autre sorcier, ANTON LA VEY le rédacteur de la Bible de Satan, fut compagnon de route pendant un temps de CROWLEY. Il résida d’abord dans un appartement du DAKOTA BUILDING à New York, à la réputation sinistre pour avoir été le siège d’un clan de sorciers. Ayant mis cet appartement en vente, il fut le conseiller technique de ROMAN POLANSKI qui avait loué cet appartement pour la réalisation de son film « ROSEMARY’S BABY » où A. LA VEY joua le rôle de lucifer fécondant Rosemary (Mia Farrow) pour engendrer l’Antéchrist. Cet appartement sera ensuite vendu au couple infernal Yoko Ono / John Lennon, et c’est au pied de l’immeuble, devant la porte d’entrée principale que John Lennon sera abattu par D. Chapman. A. LA VEY étant mort depuis peu, l’ EGLISE DE SATAN subsiste, gérée par sa femme et ses filles qui ont pris la relève.

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Dans le plus fort de la Beatlemania, John Lennon sera considéré comme un véritable messie et le « White Album » sera sujet à de nombreuses interprétations. Le fou et sorcier CHARLES MANSON, dans le cadre d’une Apocalypse réécrite par ce dernier, les Beatles furent considérés comme les quatre cavaliers qui devaient annoncer le fléau. Manson était un gourou à mi-chemin entre le fondamentalisme chrétien, l’Eugénisme et le Satanisme. Il se croyait à l’aube de l’Apocalypse, qu’il décrivait comme une guerre raciale à l’échelle planétaire. Sa mission consistait à déclencher le conflit en commettant divers meurtres et en tentant d’incriminer les Black Panthers, le mouvement révolutionnaire Afro-américain. Le gourou meurtrier croyait que leur chanson «Helter Skelter», qui se traduit par « Pêle-mêle », appelait à la guerre entre les blancs et les noirs.

Toujours avec le même esprit de malade mental, CHARLES MANSON croyait que la chanson « Piggies » faisait référence au mot « Pig », qui était la marque distinctive des Black Panthers. Lorsque le clan Manson tuèrent Sharon Tate, enceinte de huit mois, ils inscrivirent le mot Pig sur les murs afin d’incriminer les Black Panthers. Sharon Tate était l’épouse de R. POLANSKI et elle a joué en 1966 dans un film nommé l’oeil du malin … Plus tard, une fois réfugié en Europe loin de ses sectes sataniques, R. POLANSKI nous dévoilera dans le film La Neuvième porte que toutes cette culture satanique n’est qu’une machination.

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Il y a égalent trois coïncidence peu connues mais vérifiables sur le sorcier et la connexion avec les BEATLES : Le deuxième meurtre de MANSON fut le couple LaBianca. L’épouse se prénommait Rosemary; David Chapman, l’assassin de John Lennon, avait échangé de la correspondance avec MANSON. Chapman faisait partie d’une communauté, « Born again Christians », qui croyait également à la venue imminente de l’ Apocalypse; La première victime du clan Manson se nommait Winifred Chapman.

« Je sais que les Beatles connaîtront le succès comme aucun groupe ne l’a encore connu.
Je le sais très bien, car pour ce succès, j’ai vendu mon âme au diable ».

John Lennon à R. Coleman en 1962


LES BEATLES ET LA NOUVELLE GENERATION

La route pour l’âge du Verseau

Le texte suivant est un extrait de Dr. John Coleman, de l’excellent livre « LE COMITE DES 300 », qui est très informatif sur le thème des ILLUMINATI. Beaucoup de ce qu’il a « prédit » au début des années 80 s’est passé exactement comme il l’a raconté.

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Un exemple remarquable de conditionnement social à accepter le changement, même quand il est reconnu comme indésirable par le grand groupe des sites du STANFORD RESEARCH CENTERS, a été l’ « avènement » des BEATLES (les scarabées). Ils ont été portés aux États-Unis dans le cadre d’une expérience sociale qui serait l’objet de grands groupes de population à un lavage de cerveau dont ils n’étaient même pas au courant. Quand l’Institut TAVISTOCK a introduit les Beatles aux États-Unis, personne ne pouvait imaginer la catastrophe culturelle dans leur sillage. Les BEATLES ont fait partie intégrante du complot « AQUARIAN » (âge du verseau) un organisme qui est né de « l’évolution de L’IMAGE DE L’HOMME ». Le phénomène des BEATLES n’était pas une révolte spontanée des jeunes contre le système social anciens. En revanche, c’est un complot visant à introduire une très destructrice division d’éléments dans une grande partie de la population ciblée pour un changement contre sa volonté. De nouveaux mots et nouvelles expressions ont été introduites en Amérique avec les BEATLES.

Écouter l’émission dédiée sur Méridien Zéro

Incidemment, le mot « jeunes » n’a jamais été utilisée jusqu’à ce que juste avant les BEATLES n’arrive sur la scène l’institut TAVISTOCK. Comme dans le cas des guerres de gangs, rien ne pouvait ou aurait été accompli sans la coopération des médias, en particulier les médias électroniques et, en particulier, le Ed Sullivan qui avait été entraîné par les conspirateurs pour le rôle qu’il a eu à jouer. Personne n’aurait accordé beaucoup d’attention à l’équipe hétéroclite de Liverpool s’il n’y avait pas eu une surabondance de presse. L’Institut TAVISTOCK et le STANFORD RESEARCH CENTERS déclenchent ensuite les mots dans l’usage général autour de rock et de ses fans. Tous les mots de déclenchement conçu dans le cadre de la «musique rock» ont été conçus pour le contrôle de masse du nouveau groupe cible, les jeunes d’Amérique. Les Beatles ont fait un travail parfait, ou peut-être il serait plus exact de dire que TAVISTOCK a fait un travail parfait, les BEATLES étant plus une formation « robots » avec un peu d’aide de leurs amis. Le rôle de la presse et des médias électroniques dans notre société est crucial pour le succès du lavage de cerveau de la population.


L’EXPERIENCE DE WOODSTOCK

Le plus grand concert de Pop musique après celui de Monterey Pop, le rassemblement « Woodstock Music and Art Fair », est ce que le magazine Time appela un « AQUARIAN FESTIVAL » et « le plus grand happening de l’histoire ». Le terme « AQUARIAN » (Verseau) a été soigneusement choisi. La conception de l’expérience de WOODSTOCK implique la distribution massive de LSD, notamment dans le Cola distribué sur place et à forte dose.

  • Exodus: Gods and Kings interdit en Egypte pour « falsification » de l’Histoire: « Le ministre égyptien de la Culture, Gaber Asfour, a ainsi déclaré :

« Ce film est un film sioniste par excellence. Il présente l’Histoire d’un point de vue sioniste et contient une falsification des faits historiques. Le réalisateur britannique Ridley Scott fait de Moïse et des Juifs les bâtisseurs des pyramides, ce qui est en contradiction avec les faits historiques avérés, voilà pourquoi nous avons décidé de l’interdire. » »

Stanley-Kubrick-occulte
  • Toute l’œuvre de Stanley Kubrick est occulte. Stanley Kubrick est reconnu pour avoir marqué les imaginaires de souvenirs visuels persistants (notamment dans la publicité) mais il a également laissé une trace sonore et musicale indélébile.orange-mecaniqueDans « ORANGE MÉCANIQUE » (réalisé en 1971 et adapté du roman d’Anthony Burgess (A Clockwork Orange dans son édition originale britannique publiée en 1962) est le 1er film avec son Dolby. L’adaptation de Kubrick nous entraîne bien au-delà du roman. C’est un film où la symbolique occulte est présente partout. La violence s’exprime sous toutes les formes possibles et montre la perversion et la violence, la torture, le sadisme…2001-hollywoodFinalement le « héro » sera reprogrammé avec les drogues et les électrochocs… Dans « 2001, L’ODYSEE DE L’ESPACE » il se complait dans l’illustration littérale des codes franc-maçon et Illuminati. Avec « EYES WIDE SHUT » Stanley Kubrick réalise une critique distanciée, un questionnement autour de la démarche de fond et par extension sur l’humanité de l’initié.Voir 2001 l’Odyssée De l’Espace, l’illumination Selon Stanley Kubrick
  • Matrix1Les frères Washowski avec la trilogie « MATRIX » font une démonstration agglomérée autour de symboles, de citations, de références comme les dialogues de Néo avec l’Oracle et avec le Grand Architecte de l’Univers. C’est après avoir foulé le sol en DAMIER et ouvert la PORTE que NEO pourra rencontrer MORPHEUS et ainsi avaler la bonne pilule. Comprendre la réalité ou l’illusion de la MATRICE, comprendre que tout n’est qu’une illusion de signaux électriques et de chimie dans notre cerveau pur propagande illuminati.La FEMME ÉCARLATE (la prostituée) de MATRIX (qui se transforme en agent Smith) charme NEO qui n’écoute plus MORPHEUS. La femme en rouge est un vieux symbole Hollywoodien depuis Marylin Monroe, elle est présente dans de nombreuses productions (Taxi Driver, Roger Rabbit, etc.). Plusieurs actrices incarneront la FEMME ECARLATE. Elle est la tentatrice. Hollywood aime aussi glorifier les dieux qui formeront du combustible de l’Enfer. Dans la symbolique la femme écarlate représente le désir et une vie plus « excitante », elle est une distraction mais aussi une désillusion. C’est la tentation du malin pour la fornication. Vous remarquerez les robes de soirée rouges des actrices du culte lors de la cérémonie des Oscars. En Enfer il n’y a pas d’oscar.Voir Les Desssous de Matrix
  • Les frères Washowski produisent ensuite « V POUR VENDETTA » adaptation d’un comic’s de Alan Moore, « L’INITIE » ; mot franc maçon.
  • David Lynch dans TWIN PEAKS, montre des policiers membres d’une société secrète (« La Maison ») et met en scène des délires ultra-codés à la signification mystérieuse (comme dans tout ses films maudit) se déroulant ici dans des  » Loges Noires  » décorées de lourdes teinture, de statues étranges et carrelées de motifs en damier (la référence directe aux lieux des cérémonies franc-maçonnes / Illuminati).
  • Le film « DARK CITY » qui ressemble étrangement à Matrix est très symbolique aussi, nous retrouvons presque exactement le même DAMIER dans le même escalier.
  • Dans le film aux 3 oscars « LE LABYRINTHE DE PAN« , la jeune fille dessine sur le mur une porte avec une craie. Elle entre et découvre le couloir « Stargate » et son sol en Damier. Les Stargates, portes d’entrée entre les dimensions ne restent ouvertes que pendant un temps limité, c’est pourquoi la jeune fille du Labyrinthe de Pan utilise un sablier. Plus tard, l’entité démon lui demande l’enfant pour un sacrifice rituel : « La lune est pleine dans le ciel et nous pouvons ouvrir le portail ».
  • Dans « MONSTRES & CIE » Thot et son compagnon l’Oeil d’Horus voyagent à travers les dimensions à l’aide de PORTES.
  • A Hollywood le Char de Feu des cieux est représenté par un véhicule, et très souvent des TAXIS avec une bande en DAMIER, comme dans le film « TAXI DRIVER » qui contient d’autres symboles occultes : Stargate Octogonal, badge militaire Thot / Kong, Pyramide et Talisman, etc.
  • Dans « ABYSS » nous avons un premier contact avec une entité avec Checkboard et Stargate. Dans  » ATLANTIS  » de Disney il y a un couloir avec des portes entre les piliers et un sol en damier avec ici une notion avec l’Eau. Dans le film « CONTACT » il y a un contact « extra-terrestre » sur un DAMIER.
  • Dans le film « LAST ACTION HERO » avec le pion Schwarzenegger un ticket magique ouvre un vortex permettant de se rendre dans la réalité cinématographique, depuis un théâtre dont le sol est en damier. Dans le même film un Stargate Octogonal est présent lors d’une chute et les méchants utilisent un taxi (à damier) pour s’échapper en ouvrant un vortex.
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Le parapluie est aussi un symbole Hollywoodien de STARGATE : « MARY ¨POPINS » « BATMAN 2 LE DEFI » etc. Le parapluie de forme OCTOGONALE canalise les énergies. Dans le film « STARGATE PORTE DES ETOILES » de J. Carpenter, l’acteur Kurt Russel emmène ses soldats dans le STARGATE et arrivent dans un nouveau monde (une autre dimension) entre 2 PILIERS. La liste de films impliquant un sens caché et des codes est très longue.

  • Le MAGICIEN D’OZ et ALICE AU PAYS DES MERVEILLES sont des productions saturées d’occulte symbolique. Beaucoup de films récents et de dessins animés de Disney sont utilisés ainsi d’une manière double : Désensibiliser la majorité de la population, en utilisant le subliminal et la programmation neurolinguistique hypnotique, et la construction spécifique qui déclenche délibérément des clés pour la programmation de base, chez les enfants. L’occultisme des productions est également une pratique des anciennes religions païenne Égyptienne et des empires de Babylone, c’est à dire la KABBALE, le culte secret que l’on a caché au monde depuis 2000 ans.

ALICE AU PAYS DES MERVEILLES:
Usage des drogues, pédophilie et voyage cosmique dans la barque solaire

Dans  » ALICE AU PAYS DES MERVEILLES « , la petite fille se couche dans la prairie et la drogue des fleurs et des champignons plonge Alice dans la TRANCE. Elle commence alors son voyage initiatique pour découvrir sa personnalité. Alice entre dans un autre monde en suivant le LAPIN BLANC (le même lapin blanc qui contacte NEO dans Matrix), Alice chasse le LAPIN BLANC à travers le TROU NOIR sous l’effet des fleurs et des champignons (LSD). Puis Alice se retrouve dans une CHAMBRE CUBOIDE A DAMIER (le checkboard, le chemin vers la porte DES FRANC MACONS) devant une PORTE dont la CLEF lui permettra d’accéder au « Pays des merveilles », une autre dimension. Plus loin dans le dessin animé de Mr Disney (MACON du 33 eme degrés) le gentil roi inoffensif cache en réalité une reine diabolique habillée du CHECKBOARD (damier). C’est une production très importante car le thème d’ALICE est repris dans plusieurs autres productions ainsi que dans l’univers de la chanson et renouveler en 2010: PAPILLONS (symbole maudit de la monarchie dirigeante et de la réincarnation), la REINE DE COEUR, (les pendentifs en forme de cœur) CHAMPIGNONS et ARÔMES (les drogues et particulièrement le LSD), le LAPIN BLANC (le maître, la barque solaire) et son TROU (porte stargate), la MONTRE (le temps et l’infini), etc.

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Le LAPIN BLANC est un chiffre de programmation qui vous permettra d’aller à des endroits inaccessibles autrement pour l’aventure (le lapin blanc contact NEO dans Matrix). Il représente le maître et symbolise la cocaïne et son usage. Alice est également codée avec la religion égyptienne païenne. Le lapin est très actif et toujours en mouvement, il a une énergie très nerveuse comme lors d’une prise de cocaïne. Il est un personnage important. Devant la PORTE fermée de WONDERLAND le lapin (que l’on ne voit pas) donne un « WAFER » (sucre-cocaïne) à Alice et dit:  » MANGE-MOI « . Alice doit manger le WAFER pour grandir et attraper la CLEF qui ouvrira la porte. Elle boit un liquide afin de rétrécir (LSD). Alice mélange donc les drogues et finira par tomber dans la bouteille qui l’emporte sur un océan (un délire, le programme) et hallucine dans le TROU du LAPIN (elle est sur la barque solaire). Le CHAT est une vision psychédélique sous drogue. Alice cherche son chemin (sa personnalité) dans le WONDERLAND. Elle rencontre la chenille fumant le narguilé d’opium sur le champignon. Puis la chenille devient un PAPILLON et s’en va (réincarnation). Alice mange alors à nouveau des champignons, elle doit permettre à son esprit de se trouver dans le monde sous-terrain de WONDERLAND (le monde d’Osiris), elle traverse le STARGATE pour une autre dimension cosmique, voyage sur la BARQUE SOLAIRE puis se fait juger par OSIRIS devant le tribunal. Le lien avec la religion égyptienne, la GNOSE et la KABBALE (la religion égyptienne) sont évidents.

L’histoire qui se cache derrière le « MAGICIEN D’OZ » est une programmation sadique aussi. Il suggère que le Magicien d’Oz a eu une part importante dans le monde de l’occulte. Un des secrets est celui des religions païennes, en particulier la religion égyptienne païenne et d’ ISIS (la mère d’Horus) et la capacité à utiliser les médicaments et les actes de torture afin de créer de multiples personnalités. Le mot  » OZ  » est connu pour avoir été utilisé par son auteur comme une abréviation d’OSIRIS.


DISNEY OCCULTE

Un bon exemple de la façon subliminale de programmation est en analysant les dernières productions cinématographiques de Disney. Dans le film d’animation  » Pochahontas «  (curieusement facturé comme leur « 33ème », plus haut degré dans la franc-maçonnerie de rite écossais), la grand-mère mystique Willow (un arbre de 400 ans), conseille la mère Pochahontas à écouter son cœur et l’aide à trouver les réponses. La grand mère Willow parle constamment de  » double langage  » et  » revers  » (comme  » Parfois, le chemin n’est pas le plus facile « ) dont la dérive est évidement ésotériques. Ainsi le sentier à gauche (le chemin qui mène à la destruction] est le plus facile. Dans l’occultisme illuminati, le saule représente le pouvoir occulte Druidisme. L’intrinsèques des images de l’arbre et des branches, les feuilles et les racines sont très importantes. En occultisme, les branches sont utilisées pour attiser les victimes dans les rituels de  » nettoyage « . Un saule peut subir de graves perturbations climatiques (c’est-à-dire les tempêtes) et est connu pour sa souplesse et sa flexibilité. Les victimes de la programmation sont des branches de saule, sans aucun espoir de fuite. Le système racinaire profond du saule fait que les victimes se sentent de plus en plus dans l’abîme de la transe hypnotique.

Dans  » Blanche neige et les sept nains «  les personnalités des nains représente les sept niveaux de l’addiction à la drogue et leurs symptômes (Fatigue, allergies, joie, etc.) et l’ironique docteur qui va soigner (le maître).

Pratiquement toutes les productions Disney pour les enfants contiennent de l’occultisme et du subliminal Illuminati : Pinnochio, Sleeping Beauty, Blanche Neige, La Belle et la Bête, Aladdin, La Petite Sirène, Le Roi Lion, E.T, Star Wars, Ghost Busters, Trancers II, Batman, Bewitched, Fantasy Island, Reboot, Tiny Toons, Tails Duck (…).


Hollywood & pédophilie

RÉVÉLATION DE COREY FELDMAN

Corey Feldman a connu les hauts et les bas d’être célèbre et mineur. Dans une interview à ABC Nightline diffusé mercredi, l’ancien enfant vedette âgé maintenant de 40 ans, a déclaré que les pédophiles étaient « comme des vautours » dans l’industrie du divertissement. Il a notamment joué dans des films classique tel que The Lost Boys, Teenage Mutant Ninja Turtles, Gremlins et The Goonies.

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L’acteur du film Lost Boys a déclaré qu’il était « littéralement entouré » par des pédophiles, à l’âge de 14 ans, mais ne le réalisant pas « jusqu’à ce que je sois beaucoup plus vieux pour comprendre ce qu’ils étaient et ce qu’ils voulaient. » Feldman a blâmé la mort de son ami Corey Haim à l’âge de 38 ans en 2010 sur les sévices subis dans les mains d’un « mogul hollywoodien » particulier, qu’il a refusé de nommer. A noter que Crispin Glover insinuait des choses étranges au sujet de Steven Spielberg dans son document dénommé  » What is it  » de 2005.

Feldman a déclare aussi « Il y a beaucoup de bonnes personnes dans cette industrie, mais il ya aussi beaucoup de gens vraiment, vraiment malades et de gens corrompus dans cette industrie », a déclaré Feldman. « Il y a des gens … qui ont fui la réalité pendant si longtemps qu’ils se sentent au dessus des lois. Et ça doit changer. Ça doit s’arrêter. »

Les bons et les méchants
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« Il y a une citation du livre de Kurt Vonnegut “Les Sirènes du titan” et qui a toujours été le slogan de Miramax et aujourd’hui de The Weinstein Company. Il est dit : “Le bien peut triompher sur le mal si les anges sont organisés comme la mafia.” C’est comme ça que nous avons construit notre compagnie ! Et malheureusement, nous [les juifs] nous allons devoir être organisés comme la mafia. […] Donc comme on dit dans Le Parrain, “back to the mattresses” [quand faut y aller], et revenez à l’idée que nous n’oublierons jamais ce qui nous est arrivé. » (source)

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Ce mauvais scénario d’Hollywood est devenu une croyance mondiale : d’une côté les méchants qui détruisent la nature et commettent nombre d’injustices et de crimes contre l’humanité, et de l’autre les bons, la majorité silencieuse qui subit les outrages des précédents.

En réalité ce scénario date de l’invention du concept socialiste de lutte des classes : d’un côté, la caste des nantis et des profiteurs, et de l’autre, les masses innocentes, qui depuis Rousseau sont constituées d’êtres humains nés naturellement bons.

De Marx à Hollywood, le circuit est bouclé. Les méchants vivent leur dernière heure, et grâce à la générosité du genre humain unifié, les salauds vont bientôt être vaincus. Le nouvel ordre mondial nous l’a promis : le grand soir est pour bientôt. La biche reposera près du lion. On oublie simplement de dire que le fauve assoupi, drogué et dégénéré n’aura plus rien d’un lion.

Philanthropes sans frontières

Philanthropes sans frontières

Il faut donc que chacun se range démocratiquement du bon côté, celui des gentils qui forment la majorité. C’est pourquoi les prédateurs de la finance paufinent leur image de philanthropes et de grands humanistes. Ils deviennent de généreux donateurs pour toutes les bonnes causes sociales, médicales et écologistes. Quelle star n’a pas signé un chèque pour des œuvres de bienfaisance, mais toujours devant une caméra, bien entendu ? La charité, il faut la faire connaître pour que tout le monde en prenne de la graine. Le message vers le public est clair : les grands de ce monde sont des gens positifs. Soyez tous bons !

Qui ne voudrait être du côté des bons ? Donc, tout le monde est pour le bien, et tout le monde est pour la paix.

On finit alors par se demander, mais où est le mal si tout le monde veut le bien ?

Et la pensée unique nous annonce par tous ses haut-parleurs que le mal va prochainement disparaître grâce à l’union des bonnes volontés.

Ce scénario présente de sérieuses lacunes, mais l’art de la mise en scène fait passer la pilule. Il serait malvenu de douter que l’utopie du paradis terrestre est dans sa dernière ligne droite.

Les nouveaux méchants seraient ceux qui n’ont pas la naïveté de croire que la souffrance humaine peut être éradiquée aussi légèrement. Les voilà les nouveaux ennemis du genre humain : ce sont les dissidents du meilleur des mondes.

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L’art de la politique est de diviser pour régner. Chacun a souvent entendu cette formule, mais nous n’en avons sans doute pas tiré les conséquences utiles.

Le grand art de la manipulation c’est de dresser deux partis aux idéologies opposées l’un contre l’autre. Chacun peut donc s’identifier au bord qui le séduit sans réaliser que l’engagement qu’il croit libre est en réalité une totale absence de choix.

La division politique entre la droite et la gauche est fondée sur cette manipulation des deux tendances fondamentales de l’humanité, la priorité du coeur ou celle de la raison.

Les tenants du parti du cœur ont l’avantage de pouvoir dénoncer les autres comme des méchants, et en retour, les pragmatiques ricanent des rêveurs, qui pour la plupart, ne sont désintéressés que parce qu’ils n’ont pas les moyens de faire autrement.

Cette culture politique nous vient de l’opposition théologique entre le bien moral et le péché, le mal. Plus anciennement, il s’agit de la lutte entre deux principes opposés, identifiés à Dieu et au Diable, en lutte pour le contrôle de l’âme humaine et la suprématie terrestre.

Objectivement nul ne peut nier que la vie est faite de souffrance et de plaisir, et les diverses écoles philosophiques se disputent pour savoir si c’est la douleur ou le bonheur qui ont la première place dans l’existence.

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Ainsi pour le Bouddha et le Christ, c’est la souffrance qui domine sur la terre, et un bonheur durable ne peut être trouvé que dans le Nirvana ou le Royaume des Cieux.

Aujourd’hui, on enseigne le contraire. Le bonheur doit être trouvé ici-bas, et la souffrance n’est qu’un phénomène temporaire qui sera anéanti par la science et le progrès social.

Sur le dogme du progrès scientifique et politique, on a reconverti les croyances chrétienne et bouddhiste en un humanisme spirituellement correct. Le Nirvana et le Royaume des Cieux vont apparaître sur la terre prochainement, si ce n’est déjà fait. Voilà ce qui rassemble tous les gogos connectés sur l’onde de la pensée unique. Cette philosophie rudimentaire qui évacue le problème de l’éternité de l’âme, est en voie de devenir la croyance fondatrice de la nouvelle religion mondiale. D’ores et déjà, c’est le ciment de la pensée unique, et celui qui ne partagerait pas cette vision ne risque pas d’être invité sur ces plateaux de télévision où l’on célèbre quotidiennement la grand messe du meilleur des mondes.

C’est un fait admis, la douleur n’est qu’un phénomène superficiel qui sera vite oublié grâce à la science, et toute injustice disparaîtra grâce à l’unité internationale. Que les faits nous disent exactement le contraire, cela ne fera pas changer d’avis les innombrables dupes qui ont été dressées à croire en une espérance aussi vaine et creuse.

Quant à celui qui ne partage pas cet idéal artificiel, il sera dénoncé comme suppôt de Satan. Avec la mode du nouvel âge, il est apparu une tyrannie de la bonté la plus hypocrite qui soit, un fascisme moral au nom de la « lumière ». Cette idéologie a repris les dogmes du socialisme et du scientisme en prétendant que l’évolution terrestre se dirige vers une perfection dans une ascension infinie. C’est en réalité une idée inventée par des jésuites occultistes dont Teillard de Chardin fut le vulgarisateur. On a gommé les aspects matérialistes, pour mettre en avant un idéal spirituel de fusion entre le monde visible et les hiérarchies angéliques.

Ce programme de spiritualisation de la nature sera couronné par l’avènement d’un ordre mondial parfait dirigé par des sages – la synarchie des « maîtres de sagesse » – incarnés physiquement pour la circonstance, avec le messie à leur tête.

Cet idéal a énormément progressé et il touche aujourd’hui des milieux culturels et sociaux divers, de sensibilités idéaliste, pacifiste, socialiste, écologiste, religieuse, humanitaire, etc avec la bénédiction des leaders religieux et politiques. Tous sont branchés sur l’inéluctable avènement du meilleur des mondes. Tout le monde a été dressé à espérer un miracle. C’est un grand consensus qui se fait jour, présageant ce que sera la tyrannie morale et politique dans le nouvel ordre mondial. Il ne fera pas bon être un opposant car le dissident apparaîtra comme un agent des forces des ténèbres, un ennemi de la Lumière.

Parlons donc à présent de ce qui se dissimule derrière les notions de « lumière » et de « forces noires ». Nous écrivons ceci à l’usage de personnes averties et non pour le grand nombre qui va naturellement dans la direction que les autorités lui indiquent.

Celui qui a bien compris que la politique c’est diviser pour régner n’aura aucun mal à admettre que la manipulation la plus subtile utilise les idées morales les plus élevées.

Les autorités terrestres ont toujours su flatter la sensibilité humaine avec la promesse d’un bonheur ultime réservé à ceux qui obéissent, en y opposant la crainte de l’enfer pour les récalcitrants. Les maîtres du jeu se sont partagés les rôles depuis l’aube des civilisations : les forces de lumière et de bonté d’un côté et les forces de l’ombre de l’autre.

Comme par hasard, les autorités ont toujours assumé le beau rôle, et les pontifes se sont présentés au peuple comme les intermédiaires des bonnes puissances – angéliques et divines.

La croyance que les autorités religieuses sont du côté de la lumière est donc enracinée profondément dans l’humanité. Grâce aux hiérarchies cléricales avec leur décorum et leurs cérémonies, les masses se sont senties en sécurité, protégées des forces de l’autre bord, les esprits mauvais. Cette mise en scène spectaculaire du « bien » et de la « vérité » est toujours la méthode de manipulation des autorités politiques et religieuses. Ce jeu est contrôlé par des loges secrètes, où la division entre le bien et le mal n’est déjà plus aussi tranchée.

Traditionnellement, on distingue deux types de sociétés occultes : les cercles ésotériques qui manipulent la bonté, et la confrérie noire qui travaille par violence et contrainte. On pourrait croire que ces deux groupes se livrent à une guerre sans merci – ce qui est le cas lorsque leurs intérêts sont menacés – mais il faut savoir que les deux bords sont contrôlés par un conseil suprême. Cette instance est un régulateur qui rééquilibre en permanence les excès d’un bord ou de l’autre. Selon les périodes historiques, il est laissé plus de latitude à l’une ou l’autre de ces hiérarchies qu’on a identifié sous les noms de « Lucifer et Ahriman » ( ce n’est qu’une commodité de langage), à savoir, les forces de la fausse lumière spirituelle (Satan si l’on préfère) et les forces noires matérialistes (Le diable inventé par la religion).

Très schématiquement, on peut dire que les forces lucifériennes sont idéalistes et utilisent les religions et les croyances comme masque, alors que les forces noires sont mentales et pragmatiques, et elles contrôlent le monde par la finance, la science et la politique. Nous avons donc ici une représentation des deux colonnes de la société : l’église et l’état.

Une multitude de sociétés occultes sont rangées sous l’une ou l’autre tendance afin de recouvrir tout le champ des possibilités en terme d’idéalisme ou de pragmatisme. Chacun d’entre nous est sollicité par un bord ou l’autre s’il veut grimper dans la hiérarchie sociale.

Les loges de la base accueillent le « tout venant » dont les élus seront sélectionnés dans les degrés supérieurs de l’initiation. Au plus haut niveau, l’on est conscient de servir Lucifer ou Ahriman, alors que dans les degrés inférieurs, on obéit simplement aux ordres, en échange de quelques privilèges. La corruption demeure donc l’arme absolue pour tenir l’élite sous contrôle – depuis l’actrice qui sert d’esclave sexuel jusqu’au financier anonyme. Officiellement, tous ces personnages se déclarent humanistes, et souvent philanthropes.

Ils servent de modèles aux masses, et ils doivent laissent croire que le monde est entre de bonnes mains, ou selon la parole de Patrick Poivre d’Arvor : « Nous sommes là pour donner une image lisse du monde ». Un aveu sincère, riche de sens.

Journalistes, écrivains, humanitaristes, travailleurs sociaux, médecins, religieux, artistes, vedettes, politiciens de tous les bords, capitaines d’industrie… tous préconisent la paix, la justice, le progrès, l’évolution, la bonté et toutes les vertus de la modernité pour le meilleur des mondes. Il y a peu de fausses notes dans ce concert de bonne volonté débordante, et le personnage célèbre qui franchirait la ligne jaune, en égratignant un peu le consensus, risque fort d’avoir un accident de voiture ou tout au moins de perdre son gagne-pain.

Donc, nous voyons que le « bien » de la politique luciférienne, est l’arme la plus puissante pour contrôler l’humanité avec son pendant inévitable qui est la peur, laquelle est vitalisée par les loges noires.

La peur exacerbe l’espoir et la recherche d’une sécurité ici-bas ou dans l’au-delà, ce qui justifie l’existence des idéologies, des croyances et des religions.

yin-yang

Si l’on regarde le jeu du « bien » et du « mal » depuis le sommet de la pyramide où se tient le conseil planétaire suprême, on est tenté de dire que l’un et l’autre s’équilibrent parfaitement, et que toute insistance du côté du bien relatif entraîne des calamités, et vice versa.

Ainsi l’idéologie new age qui aspire à un monde parfait est une réaction naturelle à l’accumulation des maux modernes, la détresse morale grandissante de l’humanité ainsi que la dénaturation du monde vivant, lesquels appellent l’espoir en un avenir rayonnant. Lorsque le mal devient quasi insurmontable, il apparaît un idéalisme de même intensité.

C’est le mouvement normal balancier, et ce mouvement ne doit rien au hasard. Les loges occultes ont réglé le ballet des contraires. L’une, la « loge noire », se déchaîne par la technologie et l’économie, commettant tous les crimes contre la nature, tandis que l’autre, la « loge blanche », prépare l’alternative en diffusant l’espérance. Bien entendu, l’alternative au matérialisme étouffant ne peut être qu’une bouffée d’espérance idéaliste à la mesure des fléaux que nous endurons. Qui donc irait protester contre ce mécanisme logique et naturel ?

La loge politique occulte qu’on appelle « grande loge blanche » a préparé le terrain depuis environ un siècle en établissant un programme très sophistiqué en vue de revivifier le messianisme. En accord avec leurs « frères » de la confrérie noire, ces initiés « blancs » ont littéralement planifié le chaos qui a ensanglanté le XX° siècle, tout en développant parallèlement l’idéologie pacifiste. Les deux groupes se sont partagés les tâches : « tu frappes et moi je soigne ». Rien n’arrive au hasard.

Il ne sera donc pas difficile le moment venu de réparer les dégâts causés par la pollution et l’économie, car l’antidote était déjà prêt avant l’empoisonnement. Vous verrez qu’au moment où ils le décideront, les prédateurs se feront justiciers et guérisseurs des plaies de l’humanité et de la nature. Vous pouvez déjà le constater lorsque les instituts internationaux de la finance et la politique qui sont les agents conscients du mal en ce monde, se répandent en messages humanitaires.

Progressivement, le message prendra un ton spirituel à base de proclamations messianiques : « nous sommes tous frères et nous voulons vivre en paix dans un monde unifié ». Lorsque les initiés des loges lucifériennes tiennent ce langage, alors il faut craindre le pire.

Si les maîtres du monde s’intéressent subitement et avec autant d’insistance à notre bonheur, et qu’ils veulent même nous imposer un bonheur terrestre à leur façon, soyons assurés qu’ils nous préparent un mauvais coup d’une envergure inouïe.

Ce mouvement de redressement est inéluctable et le balancier repartira dans une direction qui paraîtra positive… selon les apparences. En réalité, une tyrannie internationale d’une puissance inimaginable va tomber sur l’humanité. Cette tyrannie ne peut s’imposer qu’en prenant le masque des bons sentiments, et procurer l’illusion que l’ordre mondial nouveau provient du désir même des êtres humains. C’est la clé d’une manipulation réussie. Le client doit être convaincu qu’il désire l’objet inutile qu’on va lui vendre au prix fort.

Les maîtres du jeu nous disent par tous les canaux de communication : « Vous voulez du bonheur, alors, on va vous en donner ! » En attendant, et pour que ce bonheur virtuel soit mieux apprécié, ils mettent la pression en dénaturant la vie dans tous ses aspects. Le bonheur, cela se mérite, n’est-ce pas ? C’est l’offre et la demande.

L’être humain s’est emprisonné dans l’illusion du bien et du mal, créant un monde à l’image de sa peur et du désir de sécurité qui en découle. La « réalité » que nous avons créée est un mélange de bien et de mal qui sont les deux faces de l’illusion de nos croyances déconnectées de l’amour vrai et de la sagesse universelle. Nos pensées ont créé le monde des contraires.

Bien entendu, il demeure l’espérance dans le Bien absolu, mais cela ne devient réalité que lorsqu’on sort du « jeu des blancs et des noirs ». C’est une leçon difficile pour l’humanité. Mais c’est ainsi que se forme la Conscience. Ce merveilleux enjeu est à la mesure de l’épreuve dans laquelle nous nous sommes engagés par désir de faire l’expérience consciente du mal. Il faut donc aller jusqu’au bout, sans refuser de voir la double nature, « bonne et mauvaise » de l’illusion. Qu’est-ce que le mal , sinon s’écarter de la loi universelle ? Et qu’est-ce que le bien, sinon y retourner ? Et pour y retourner, il faut changer le schéma mental qui a généré l’illusion originelle. C’est le but de la spiritualité authentique : changer de conscience.

Ahmed Miloud via :

https://explicithistoire.wordpress.com/2015/03/30/les-dessous-d-hollywood/

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